Ma lolosphère

Aller au contenu | Aller au menu | Aller à la recherche

lundi, 7 juin 2010

pourquoi Borg?

Tu te demandes lecteur "pourquoi nous sort-elle Borg ?"...il faut que je te raconte.

Il y a quelques jours nous avons reçu une charmante invitation du club de tennis...comme nous voulions renouer avec notre jeu de jambes et notre position de fond de courts, nous avons sauté sur l'occasion.

Pendant que Thélian faisait ses premiers pas d'essai sur le courts, nous sommes partis chez Gogosport pour investir dans du matériel neuf...et oui car depuis la victoire de Noah en 1983 je n'avais pas renouvelé le dit équipement.

Alors le choix fut difficile entre les raquettes à 10 millions d'euro qui t'assurent d'aplatir ton adversaire à plates coutures et le matériel sobre du distributeur ...longue hésitation. Quand un vendeur surgit du diable vauvert...je ne trouve pas le bon grip Monsieur...effectivement il y a un problème toutes les tailles ne semblent pas être là...il appelle un sous-fifre  "oui on a reçu des nouveautés mais je n'ai pas assez de picots pour les exposer".

En pleine période Roland Garros où tous les vieux nostalgiques de Borg veulent comme moi se remettre à taper dans la baballe c'est pas bien malin !!! Le sous- fifre se fait donc un peu souffler dans les bronches car "la dame cherche depuis un quart d'heure son grip et personne ne bouge".

Hourra j'essaye une raquette (rose meufe !!) et m'étonnant sur la légèreté du dit objet "ça change de l'enclume qui servait de raquette à Borg"...le vendeur rigole, "il y a 25 ans Borg ne jouait déjà plus"..."t'es gentil j'en ai bientôt 41 et Borg et Lendl (et non Lidl) étaient un peu mes icônes". Il ravale deux ou trois étiquettes et comme pour s'excuser de tout ce bazar ordonne au sous-fifre d'aller me chercher la housse de la raquette à 10 millions d'euros.

On attend la date pour le cours de tennis...

Pour tous les vieux...qui ont connu Borg !

samedi, 15 mai 2010

A découvrir et à savourer

Ma ! qui ? ou sa chimie ?

Lecteur, je t'ai déjà parlé de mon penchant pour la cuisine du pays du Soleil levant.
Il y a une petite chose dont je raffole : les maki.
Loin du commun sushi, le maki est visuellement beau avant d'être savoureux. Ce petit plat sait donc allier l'esthétique au goût : bref c'est tout moi !!!
J'avais pour habitude de m'arrêter de temps en temps le vendredi soir en rentrant du lycée chez Tottoro pour commander deux soupes miso et des futomaki.
La soupe miso je l'ai découvert version "knorr" mais japonais...Tottoro m'a déja moins vu.
Puis je me suis dit que si le pseudo cuisto japonais (qui semble plutôt coréen et le patron chinois!!!) arrive à faire des futomaki pourquoi pas moi.
Alors tu me connais lecteur, j'ai investi dans un ouvrage sur les maki...et puis ...je me suis lancée
Il a fallu faire le riz au vinaigre, puis prélever délicatement les feuilles de nori.
Il a fallu découper avec soin le filet de saumon frais.
Il a fallu émincer de façon précise concombre et avocat.
 Le résultat fut plus que positif...à toi d'en juger.
J'ai retrouvé le goût savoureux du saumon frais comme chez Tottoro.
Alors Tottoro ne me voit plus et moi je fais des maki selon mon envie.



jeudi, 13 mai 2010

Est-elle ou Etel ?

Il y a un truc formidable, c'est retrouver ses amis parisiens en Bretagne...enfin parisiens plutôt celto-normands.

Nous avons choisi de nous retrouver dans une lieu culinairement magique :" le goût du large".

Outre la collection de boites de sardines de la patronne, le cadre est charmant et calme : ce qu'il nous fallait.

C'est donc sous un soleil splendide que nous sommes partis déjeuner...j'avais bien fait de réserver car lorsqu'on entend tous les retraités pleurer sur leurs misérables pensions touchées après une vie de dur labeur : il ne semble pas que cela soit le cas pour tous et ces derniers faisaient chauffer leurs rhumatismes sous la véranda ensoleillé de l'établissement.

Dois-je détailler le menu ? non les images suffiront je crois.

Lecteur, si tu passes par ce petit port de pêche, jadis plaque tournante du thon et de la sardine, fais un stop dans cet établissement discret mais si remarquable.

Quant aux thons, aujourd'hui on ne les trouve plus qu'en boîte...de nuit, et les sarres dînent à l'huile !

Bonne dégustation.

mardi, 2 mars 2010

ce que j'écoute...encore

lundi, 8 février 2010

Tout ça pour des macarons...ça m'énerfe !!!

Qui dit samedi à Paris, dit petit crochet chez Ladurée.

Profitant d'un rendez vous à la banque (l'excuse !!!), je me suis dit que ce serait sympa de faire un petit tour à Paris. Ce fut chose faite.

En sortant de la banque, j'ai souhaité me rendre dans une boutique "bio" qui attirait mon attention depuis plusieurs années

Et oui lecteur, pour moi c'était une grande première. J'ai découvert des tas de choses : tu peux trouver toute sorte de produits avec un pseudo label bio.

Moi, il me fallait des huiles essentiels de lavande afin de parfumer les noix de lavage et j'ai fort heureusement trouvé mon bonheur. Mais j'ai une réflexion, les dites noix de lavages, panacée du monde lessiviel, sont sensées protéger ta peau mais aussi l'environnement.

L'environnement est-il protégé en Inde où elles sont cultivées, et l'avion qui nous les apportent, il vole à quoi ? à la combustion de bouses de vache sacrée ? aux biocarburants ? C'est dur d'être éco-citoyen.

Comme à notre habitude nous nous sommes restaurés à Belleville chez Da Lat : je vous conseille, mais il ne faut pas être trop regardant sur le service.

Puis direction La Madeleine...et un tour chez Ladurée après un crochet par Hédiard.

Chez Ladurée, c'est toujours le problème : il faut faire rentrer des cars de japonais dans une boutique grande comme une boîte à chaussures...gros défi !!! Mais M. Ladurée il sait le faire, il fait deux files, une pour la boutique, l'autre pour le salon de thé.

Ton défi à toi est de ne pas te tromper de file, alors j'ai demandé à un couple qui attendait. Pendant que "ma Dame" reluquait les boutiques, j'engage la conversation avec monsieur. Nous finissons par entrer, et choisir des macarons pour un dîner chez Fred.

Je me souviens alors que non seulement les macarons valent le détour mais aussi leur pain au chocolat à la pistache. Je demande à Da si il souhaitait en faire son gouter, quand le monsieur écoutant d'une oreille notre conversation me demande mon avis gustatif sur la dite viennoiserie. Il en commande, paye et se retournant vers moi me demande comment pourra-t-il me dire son avis sur cette non seulement succulente mais aussi onéreuse viennoiserie ?

Après avoir fait la queue à nouveau pour payer les délicieux et précieux mets, nous sortons et retrouvons dehors monsieur et "ma Dame" fumant un énorme cigare. Il nous propose de se prendre en photo devant la boutique...pourquoi pas ! et échange de mails.

Le soir nous recevions de monsieur la photo accompagné d'un très gentil commentaire.

Il semble que le pain au chocolat à la pistache ait fait un adepte de plus.

Quant à Fred, il m'a envoyé cette superbe photo.

Tout ça pour des macarons, ça m'énerfeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee

mardi, 26 janvier 2010

ce que j'écoute...encore

Toujours devant mes copies !!!

je te rassure, lecteur, cela avance.

Je veux te faire partager ces quelques notes qui effacent les "phote d'aurtografe".

Bonne écoute

dimanche, 24 janvier 2010

ce que j'écoute avec mes 2000 copies

mercredi, 23 décembre 2009

grippe ah ah ah...le retour

Aujourd'hui était le jour de la seconde injection pour Agathe.

Nous nous rendons au centre de vaccination, émerveillés par ce que nous avions vu auparavant : c'est à dire un système bien huilé où chacun sait ce qu'il a à faire. Et puis on m'avait dit "pour la seconde injection, non il n'y aura pas d'attente, on fera une file spéciale".

Ce soir, je la cherche encore !!

Naïvement, ce matin je me suis rendue avec les enfants au centre de vaccination : ils avaient décidé de ne plus ouvrir qu'une demie-journée, et bien évidemment c'était à partir de 16h. Nous sommes rentrés à la maison et nous avons attendu l'heure dite.

De retour au centre, nous avons découvert une file interminable et une mauvaise nouvelle nous attendait : il fallait refaire le même périple que la première fois. Questionnaire médicale, autorisation parentale de vaccination au cas où entre temps je ne voulais plus faire vacciner ma fille, et que elle, du haut de ses 17 mois fasse sa rebelle et se rende au centre sans mon accord : ubuesque!

Nous nous sommes confrontés à tous les gens qui n'ont rien de spécial et que le protocole fait vacciner alors que 10 % de la population a déjà agrandi le trou de la Sécu à coup de Doliprane.

Nous avons courageusement patienté en compagnie d'un vieux râleur, conteur de son état, qui nous faisait remarqué la lenteur de l'unique et seul médecin. Le dit médecin, retraité et aussi vieux que le conteur, avait prescrit la fois précédente à mon chéri une dose pour enfant.

Je pense que son Vidal datait un peu ou il ne l'avait pas ouvert depuis longtemps.

Le vieux conteur était admiratif du médecin, qui au lieu de se la couler douce dans une résidence "sénioriales" se coltinait des individus en tout genre, jeunes, vieux, aimables, grincheux. A mon tour je lui trouvais un côté attendrissant, tel un général voulant sauver son pays, il avait ressorti son tensiomètre (si si il a pris la tension de quelques personnes avant moi) et son stéthoscope.

Il était assisté d'une infirmière chef, qui s'obstinait à désorganiser ce système si bien huilé que j'avais observé à 2 reprises. Le conteur lui a fait remarquer que tout le monde perdait du temps (il avait des contes à conter à de petits enfants), le ton a commencer à s'élever, les tensions sont redescendues de peur d'être mesurées par le vieux tensiomètre du tout aussi vieux médecin.

Après 6 petits beurre pour calmer Agathe, une infirmière nous a appelé, un pic, une larme...et hop à la maison. Nous avons battu notre record : 1h35 !!!

Heureusement un gâteau au yaourt nous attendait à la maison et à fait oublier tout ça.

Au mois de janvier, on y retourne pour le grand !

mardi, 8 décembre 2009

en attendant Noël

lundi, 7 décembre 2009

souvenirs, souvenirs...

Tout le monde a un souvenir de gâteau d'enfance, une "madeleine de Proust"...et bien moi j'ai le gâteau au yaourt de Madame Lambert.

J'ai le souvenir d'un gâteau moelleux, qu'elle nous faisait le mercredi. Elle l'agrémentait parfois d'une couche de confiture à l'abricot.

Il y a quelque temps j'ai demandé à Fred, héritier des recettes de Madame Lambert," LA" recette. Et puis je l'ai laissé dans mon cahier de cuisine, tout en m'en rappelant de temps à autre lorsque je feuilletais le dit manuel.

Ce midi, le temps était maussade, il me rappelait ces mercredi après midi où Madame Lambert faisait de la pâtisserie pour faire entrer un petit rayon de soleil dans sa cuisine. Je me souviens encore du moule, qui faisait un gâteau à "oreilles". Chacun comptait le nombre d'oreilles dans son assiette et le comparait à celui du voisin.

J'ai donc pris mon moule à oreilles, et j'ai fait le fameux mélange ( j'y ai mis une goutte d'amaretto, ça c'est ma touche personnelle !!!).

Pendant 20 minutes les parfums sortant du four m'ont remis dans l'ambiance du "4ème".

A la sortie du four, il ressemblait à mon souvenir.

Il a ravi tous les gourmands de la maison.

Pour la recette, allez ici

lundi, 30 novembre 2009

grippe ah ah ah...

c'est un peu apeurée, que je me suis rendue au centre de vaccination aujourd'hui.

Pourquoi apeurée ? le centre est ouvert 2 demi journées par semaine pour deux villes d'environ 30000 habitants chacune, les journaux annonçaient 4h d'attente en moyenne.

Alors j'ai pris mon bébé, je l'ai équipée pour résister au froid, j'ai garni son sac à langer de biberon, fruit, gâteaux, eau, jouets, livres...pour pouvoir tenir le coup.

Effectivement en arrivant, bien avant l'heure d'ouverture, beaucoup de monde attendait déjà.

Mais une fois les portes ouvertes, l'efficacité et l'ordre régnaient.

J'ai tout de même vu les plus bas instincts de l'homme resurgir : lutter pour sa survie. Des gens cherchaient des moyens pour se faire vacciner avant les autres comme si les doses de vaccins allaient disparaitre dans la minute suivante, les laissant mourir dans d'atroces souffrances...c'est ce qu'on appelle la survie de l'espèce.

La seule chose qu'ils avaient oublié : ils étaient trop vieux pour avoir une descendance dans les mois à venir.

On m'a demandé si je voulais être vacciné en même temps que mon bébé : j'ai dit oui..si Roseline le fait, alors moi aussi.

On est passé en 1h30 tout compris, pas mal !!! il m'est arrivé d'attendre 2h chez mon médecin.

Moralité : un peu d'attente, un petit pic...adieu les vilains virus.

lundi, 16 novembre 2009

cocotte co dec

Lecteur, je ne t'ai pas encore parlé de mes œufs cocotte.

Je sais pas pourquoi, mais moi, la cuisine ça me détend. Et ce que j'aime encore plus dans la cuisine, ce sont les livres.

As-tu déjà remarqué qu'ils sont toujours agrémentés de jolis photos qui font saliver.

Et bien moi j'ai un livre de cuisine où il n' y a pas de photo, donc il faut faire preuve de beaucoup d'imagination pour savoir à quoi va ressembler le résultat...et aucun indice pour te faire saliver.

L'an dernier, à la période de Noël, je trainais à la Fnac et j'admirais les livres de cuisine, pensant que peut être le Père Noël exaucerait mes souhaits et déposerait dans mes chaussons de beaux livres de cuisine.

Il déposa certes de magnifiques cadeaux mais pas de livre de cuisine. Alors au moment où les chocolatiers font la trêve, moi j'allais à la Fnac acheter le "tout Rebuchon".

L'automne arrivant, j'aime me plonger dans la lecture de mes livres de cuisine et me voila parti dans la consultation du dit ouvrage, je redécouvre alors les œufs cocotte. En voila bien une vieille recette de campagne.

Je fais donc l'essai des œufs cocotte sur lit de tomate au parmesan : un ravissement. Je les ai fait dans de vulgaires ramequins.

La semaine suivante, je me lance dans les œufs cocotte et leur crème de champignons : raffinement ! Entre temps j'ai investi dans des mini cocottes fort pratiques et esthétiques.

Voila lecteur comment le dimanche soir, au lieu de céder à l'omelette à la va vite, je propose à la maisonnée ces œufs cocotte accompagnés de leur mouillettes de pain charpentier et d'une petite mâche au vinaigre balsamique à l'orange.

y a qui? tori ?

Lecteur tu penses encore à ma ligne, je sais !!!

J'ai découvert il y a quelques mois, un plat très original  : les yakitori.

Ce sont, pour les novices, de petites brochettes grillées dont raffolent les japonais.

 Un régal, un délice...

Quelques temps après avoir fait cette découverte, je me suis offert un livre sur les yakitori, preuve que je voulais maitriser l'art de cette petite spécialité japonaise. Ce qui est bien avec ces petits trucs, c'est que tu peux en faire pour tous les gouts, et tu peux ainsi contenter tout le monde. Je ne cache pas qu'il faut tout de même un peu de matériel, pas si facile à trouver (voir biller sur les ramen).

Mais une fois, le problème technique maitrisé, c'est un petit moment de bonheur de voir tout le monde savourer les petites brochettes (traduction à ma façon du mot yakitori).

Les miens ce sont des yakitori "qui vont bien", avec du cantal ! Pourtant la recette est japonaise, je ne savais pas qu'ils savaient faire du fromage les japonais !!!!

Merci à Laurie et Kenny pour la découverte des yakitori.

vendredi, 6 novembre 2009

Ange' In

En ces temps où tout le monde craint d'attraper la grippe, moi je fais plus fort.

C'est vrai la grippe c'est un peu comme les fringues, si tu veux être comme tout le monde tu attrapes la grippe...mais si tu veux te faire remarquer tu attrapes quelque chose de plus "classe", un truc qui te démarque des autres : une angine.

Voila une maladie totalement désuette, il est vrai que lorsque j'avais 10 ans c'était très "fashion" d'attraper une angine blanche en hiver et une rouge en été.

Maintenant tu vas chez le médecin avec la gorge gonflée et qui ressemble à un cactus, tu passes pour quoi ? pour celle qui n'est même pas fichue de lui attraper une bonne grippe A, un truc qui fera parler de son cabinet car comble du chic, il faudrait que tu viennes tout de même avec quelques antécédents.

Et bien non, moi je suis venue avec une colonie de Streptococcus, j'entends les biologistes s'écrier  : "pas mal tout de même". Le médecin fait  des test et voit là le risque d'une contagion. "Allez dans 48h ce sera de l'histoire ancienne". Ok mais pendant 72h j'ai eu la tête comme un compteur à gaz et l'impression d'être passé dans une essoreuse à salade.

C'est donc lessivée par mes germes obsolettes que je reprend le chemin de l'école...c'est rassurant je n'aurais contaminé personne.

lundi, 2 novembre 2009

ce que j'écoute

drôle de nom

Je sais lecteur, tu te dis encore "elle mange !!!!", non, je fais le gouter de mes enfants.

J'ai comme tout le monde une spécialité, la recette qu'on maitrise, celle qu'on fait les yeux fermés, celle qu'on exécute tel un robot : le gâteau au chocolat.

Mais comme l'élève au rattrapage du bac, me voila prise d'une hésitation : quelle quantité de farine ?

J'attrape Le "Ginette Matiot", référence des références, mètre étalon de la cuisine familiale, et vérifie les proportions.

En refermant le livre et en finissant ma préparation, je me pose alors une question pourquoi a-ton appelé ce gâteau "un tonquinois" ? Mais c'est vrai quel est le rapport avec le Tonquin ? pas de riz, ni de fleur de jasmin...non que du beurre, de la crème et des œufs.

Petite précision, notre Ginette a écrit ses premiers livres en 1936, le Tonquin faisait rêver certainement.

Nous pour le moment on rêve devant le gâteau, trop chaud pour être dégusté !!!!

vendredi, 30 octobre 2009

la chute du mur

J'ai pris allemand à l'école pour faire plaisir à Papa et Maman, pour être dans les classes "d'élites", pour l'amitié franco-allemande ? bref je n'en souviens plus, idem pour les cours. Il m'en reste quoi ?... Les vaniliekipserle de Laetitia.

Alors oui, moi aussi je fête la réunification de l'Allemagne et la chute du mur (ça par contre je m'en souviens). Je me souviens aussi des athlètes de la RDA quand on regardait les JO avec mon père.. .Je me souviens aussi qu'on nous disait qu'il mangeaient des ersatz de tout. Les vaniliekipserle ils les faisaient comment ? à la margarine et à la saccharine ? remarquez, on met bien un ersatz de vanille dessus : la vanilline du sucre vanillé !!!

Allez vive l'Allemagne réunifiée et ces petits gâteaux rigolos.

Allez je ne résiste pas à vous donner la recette :

  • 150 g de beurre fondu, 50 g de sucre, 75 g de poudre de noisette ou d'amande, 210 g de farine, 1 gousse de vanille ou de l'arôme, 1 pincée de sel.
  • On mélange le tout et on laisse reposer au réfrigérateur 1h. On forme de petits croissants qu'on dépose sur une plaque à pâtisserie, et on cuit 10 min au four Th 180 °.
  • Pendant qu'ils sont chauds, les saupoudrer d'un mélange de sucre glace et de vanille.

des bulles

Plus fort que le champagne, les bulles d'un spa...si, si, je vois déjà les amateurs sourire.

Cela me manquait d'avoir le derrière dans l'eau chaude, et puis je devais un spa à mon chéri, alors ce week-end je fais une recherche au hasard "spa IDF", je tombe alors sur la société protectrice des animaux  : ce n'était pas vraiment ce que je cherchais.

Puis ma recherche s'oriente vers un spa avec un parcours aquatonic à Euromickey !!! Les enfants font la bise à Riri, Fifi et Loulou pendant que les parents barbotent bien au chaud dans l'eau : pas mal le concept.

Ils font même des réductions le mardi : on y est allés.

Super ! bon pour les connaisseurs ce n'est pas Amnéville mais on s'en approche, avec une entrée à 30€ et -20% le mardi.

On n'a pas résisté au bain extérieur au soleil couchant : trop Glam'.

Si vous êtes curieux allez voir ici

- page 1 de 2